Kaya/Cinéma, paix et cohésion sociale : L’apothéose de la formation des 10 jeunes en production audiovisuelle
«Le niveau des apprenants était à la hauteur.» Voici en substance la déclaration de Ousseini Sawadogo, représentant le Directeur du cinéma et de l’audio-visuel lors de la clôture de la formation des 10 jeunes en production audiovisuelle sur la paix et la cohésion sociale à Kaya.
La cérémonie de clôture a été présidée cette fois-ci par Ousseni de Adama Ouédraogo, Directeur provincial de la culture, des arts et du tourisme (DPCAT) du Sanmatenga, représentant la Directrice régionale de la culture, des arts et du tourisme (DRCAT) du Centre -Nord, ce mercredi, 25 juillet 2024 dans la salle de réunion de la DRCAT/Centre -Nord à Kaya.
Dans son mot, le DPCAT du Sanmatenga a invité les bénéficiaires de la formation a plus d’engagement et de don de soi dans la poursuite de leur apprentissage en production audiovisuelle sur diverses thématiques après avoir été outillés par de formateurs attitrés du cinéma et de l’audio-visuel Burkinabè.
Pour Leocadie Sawadogo, représentante des bénéficiaires de cette formation :«Dans l’ensemble, je resort de cette formation bien aguerrie, avec de nouvelles connaissances acquises que je mettrai au service de la paix et de la cohésion sociale au Centre -Nord en particulier et au Burkina Faso en général.»
Au demeurant, ces jeunes après avoir reçu un bagage important ont dressé quelques doléances qui se résument à une dotation de matériels de travail et à une assistante technique pour la mise en œuvre de leurs projets futurs dans leurs régions respectives à savoir le Plateau – Central, le Centre -Nord, le Centre – Est et le Centre.
La remise des attestations aux récipiendaires, la projection des productions des apprenants et la photo de famille ont clos en beauté cette formation de 10 jours en production audiovisuelle sur la paix et la cohésion sociale à Kaya.
Du reste, selon le représentant du Directeur du cinéma et de l’audio-visuel, Ousseini Sawadogo, un dispositif sera mis en place pour que ces jeunes puissent défendre leurs plaidoyers auprès des autorités compétentes afin de réaliser leurs projets futurs au profit du vivre ensemble au Burkina Faso.
Madi OUEDRAOGO/KAYAINFO